|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ Contacts/Adhésions/ Vie du mouvement ] [ Canton de Rouvroy - Méricourt - Drocourt + Bois Bernard (CACH) ] [ Canton d'Hénin Beaumont - Noyelles Godault ] [ Canton de Leforest - Evin Malmaison - Dourges - Courcelles lès Lens ] [ Canton de Montigny en Gohelle - Hénin Beaumont ouest ] [ Canton de Carvin Libercourt ] [ Canton de Courrières - Oignies ] [ Généralité ] [ TV/Radio/Vidéo/Net et autres médias ] [ TRIBUNE LIBRE ]
|
|
|
|
« Plan pour l’emploi » : la montagne accouche d’une souris
29/10/2008 12:37
Par Nicolas Dupont-Aignan, mardi 28 octobre 2008
Les mesures annoncées par le Chef de l’Etat à Rethel dans le cadre d’un ensemble baptisé « plan pour l’emploi », laissent pour le moins sur sa faim.
Bien sûr, il est indispensable de prendre des mesures d’urgence pour amortir des effets d’une crise qui s’annonce dévastatrice. Mais, au-delà du choc conjoncturel, ce qui est en jeu, c’est la capacité de l’économie française (et européenne) à rebondir, à éviter qu’une récession ponctuelle ne se transforme en une dépression de grande ampleur et de longue durée.
A cet égard, parmi d’autres, l’augmentation des contrats aidés, l’extension du Contrat de Transition Professionnelle ou encore le remplacement de la Convention de reclassement personnalisée, traitent les effets en s’interdisant de toucher aux causes, d’ordre national ou d’ordre européen.
Des causes qui sont pourtant connues. Au plan national, les charges sociales demeurent trop lourdes, continuant de peser sur la production et l’emploi, faute d’avoir osé la TVA sociale comme au Danemark ou en Allemagne. Au plan européen, bien sûr, il y a un pilotage monétariste de l’économie qui privilégie la rente en pénalisant l’investissement, le travail et la production, une phobie irréaliste de l’inflation qui confine à la déflation permanente, un dogme absurde de la concurrence qui condamne toute politique industrielle au-dedans et ouvre les vannes des produits importés au dehors, etc. Bref, alors que la réalité impose de réviser radicalement les orientations malthusiennes et antisociales de Bruxelles, malgré leur échec patent, on se contente simplement de les mettre au congélateur… surtout d’ailleurs lorsqu’il s’agit de sauver des banques d’une coupable irresponsabilité !
On trouve 400 milliards pour les banques, mais on jette l’aumône aux salariés et à la relance. Le discours sous-jacent est connu, bien que scandaleux et faux : l’argent pour les banques serait nécessaire là où celui pour la relance serait gaspillé. Cette conception de la relance minimaliste est pourtant délétère pour les finances publiques : car, encore une fois, le traitement social du chômage, sans mesures structurelles fortes pour la croissance, aggrave les déficits publics sans traiter la racine du problème. Autant arroser le sable…
Ce deux poids deux mesures injuste et inefficace a une cause évidente qu’il ne fait pas bon dire : les règles européennes et de l’OMC, taillées sur mesure pour un capitalisme de rente et de spéculation et inscrites au cœur du traité de Lisbonne, n’ont été mises qu’entre parenthèses. Le président de la République est très ambigu : d’un côté il pourfend les « dogmes de Bruxelles », de l’autre il signe des deux mains un traité de Lisbonne qui les aggrave et fait les gros yeux aux courageux Irlandais qui votent « non ».
Nicolas Sarkozy multiplie les déclarations martiales pour faire croire qu’il va réellement porter le changement qu’attendent les Français. Mais pourquoi n’ajourne-t-il pas la privatisation rampante de la Poste ? Pourquoi ne proclame-t-il pas le maintien sans limitation de durée des tarifs administrés du gaz et de l’électricité ? Pourquoi n’engage-t-il pas une vraie politique de relance adossée à l’Etat ? Pourquoi prête-t-il aux banquiers sans entrer au capital des banques pour s’assurer qu’elles honorent leurs promesses en matière de distribution du crédit à des taux raisonnables ? Pourquoi ne convoque-t-il pas une conférence nationale des revenus du travail pour engager le rattrapage de 30 ans d’écrasement des salaires ?
Après le traitement social des banquiers puis, avec des moyens sans commune mesure, celui des chômeurs, quand viendra donc le plan de relance de l’économie française et européenne seul capable d’offrir aux Français les emplois et le niveau de vie attendus de tous ?
| |
|
|
|
|
|
|
|
Conseil municipal du 27/10/2008
28/10/2008 17:46
Rapports succincts et impressions
La concorde se fera uniquement au début de la séance lorsque le Maire demandera une minute de silence à la mémoire de ce grand serviteur de la ville que fut Lucien Deloeil. Malgré l’absence remarquée de Mme Lienneman, compensée par la présence non moins remarquée de Marine Le Pen, le quorum était atteint pour commencer les débats. La période consacrée au règlement intérieur du conseil municipal sera marqué par l’intervention de Mme Menin, figure historique du FN local qui annonçera son départ du groupe FN et sa volonté de siéger désormais seule en tant qu’indépendante. Dans la foulée, Mme Cogez confirma son départ de l’Alliance Républicaine et sa décision de siéger au titre du MoDem. En ce qui concerne le règlement intérieur du conseil municipal, l’opposition dans son ensemble (FN, Alliance, Modem) le rejette pour de multiples raisons que résumera à lui seul Steve Briois, sous l’œil goguenard de notre édile. Aprés de longues tractations , avec une coupure de séance, l'assemblée se met d'accord sur quelques points consensuels. Arriva ensuite l’avis définitif de la chambre régionale des comptes. Mr Chrusez y alla à nouveau de son couplet optimiste quand à l’apurement rapide de la dette et se félicite que
la CRC relève une datation antérieure à l’arrivée de Gérard Dalongeville pour 60 % des dettes. Mme Le Pen ne peut s’empêcher de contester cette affirmation en fourbissant à son tour ses propres arguments. Daniel Duquenne, Christine Cogez et Pierre Ferrari contesteront également la gestion de Gérard Dalongeville. Arrive enfin ce que à quoi, la forte affluence du public n’y trompant pas, tous ou presque attendaient : la mort de la bête, le cas Ferrari. Son fan club du MJS était là, bien présent et bien remuant dans la salle, prompt à intervenir ou à lancer moult quolibets à l’adresse du Maire, mais aussi de quelques adjoints. D’ailleurs, ce public remuant sera recadré plusieurs fois par JP Chrusez qui fera un rappel constant à la loi, soucis soudain de légalisme que partagera également le maire. Les élus eurent à se prononcer sur le maintient de Pierre Ferrari dans son poste d'adjoint . Celui ci, après une passe d’arme avec Mr JB Deshaye, prend la parole et passe au crible la gestion municipale, il signale l’incompétence de Gerard Dalongeville et conclut enfin par le fait qu’il sera toujours présent pour garantir le respect de la démocratie et les droits des héninois, bref, un beau discours de l’agneau sacrificiel. Toutefois, malgré le soutien de David Noël pour le groupe communiste, de Christine Cogez et de Daniel Duquenne, ainsi que l’abstention du FN, Pierre Ferrari se verra retirer sa qualité d’adjoint par une forte majorité de voix contre lui, et dans la foulée, sera remplacé par Mr Richard Gonzalès toujours prompt à se repaître des restes laissés par d’autres. La révolte parmi ses groupies fut dans le public, exprimée notamment par le déploiement d’une banderole. JP Chrusez, décidément légaliste à ses heures perdues, demanda une suspension de séance. Le reste de la soirée fut des plus calme au regard de tous se qui venait de s’y dérouler. A signaler toutefois une demande d'augmentation des émoluments du Maire qui en laissèrent plus d'un pantois. Eh oui ma p'tite dame tout augmente ! Au final, rien d’exceptionnel pour les Héninois ne fut tiré de ce conseil plus bling - bling que constructif. Toutefois, la soirée ne fut pas perdue pour tous le monde ! En effet, comme pour chaque séance, j’ai aperçu encore et toujours les mêmes abonnés en mal de se faire connaître et reconnaître par les élus de la majorité. Un public particulièrement en but de séduire par une fidélité qui approche à la bigoterie pour certains ou à l’intérêt pour d’autres. Bref une caste pour qui la politique se résume à un art de la séduction où le partisan cède le pas au courtisan. Quid des arcanes de la politique, de l’idéologie ou de la gestion publique ? ? ? Ils n’en ont que faire, d’ailleurs pour beaucoup, ils n’y entendent rien ! Non, seules comptent à leurs yeux les futures prébendes, prix de leur asservissement à la majorité siégeant au Conseil municipal.
PW
| |
|
|
|
|
|
|
|
Crise : le "CHE" et NDA sur la même longueur d’onde
26/10/2008 10:38
La voix de la France dans le monde, par Jean-Pierre Chevènement LE MONDE
Le président de la République, dans son discours de Toulon, n’a pas sous-estimé la gravité de la crise. Mais il l’a réduite à la logique du capitalisme financier. Certes, il a eu raison de flétrir les excès de la titrisation qui a déresponsabilisé les banques, mais il n’a pas dit qui a encouragé cette "titrisation". Il a surtout fait l’impasse sur la dimension géopolitique de la crise.
Qui en effet a encouragé la fuite en avant dans l’endettement des ménages et des banques, et la dilution des risques dans une "titrisation" opaque ? Qui, sinon l’administration Bush et ce demi-dieu, Alan Greenspan, hier encensé, et jeté aujourd’hui à bas de son piédestal ? Il fallait bien sortir de la crise née de l’éclatement de la bulle technologique et financer la guerre d’Irak !
C’est cette fuite en avant qui a contaminé l’ensemble de l’économie mondiale. Mais le mal vient de plus loin encore : ce sont les Etats-Unis qui, depuis plus de trente ans, ont impulsé la globalisation financière et les dérégulations, flottement des monnaies, libéralisation absolue des mouvements de capitaux, cycle des privatisations, fin de toutes les protections à travers le GATT (Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce) devenu Organisation mondiale du commerce (OMC), mise en concurrence des territoires et des mains-d’oeuvre avec son cortège de délocalisations. Il faut rappeler qu’ils furent suivis par l’Europe, qui fit du dogme libéral son credo, à travers l’acte unique, le traité de Maastricht et le projet de Constitution européenne repris par le traité de Lisbonne.
Les Etats-Unis, grâce à la globalisation et au privilège du dollar, ont pris l’habitude de vivre très au-dessus de leurs moyens : leur endettement total - tous agents confondus - atteint 316 % de leur PIB ! L’économie la plus riche du monde capte 80 % de l’épargne mondiale, signe sûr que le monde marche sur la tête ! Enfin, le déficit de leur balance commerciale dépasse 700 milliards de dollars (530,7 milliards d’euros), soit plus de 5 % de leur PIB.
Mais ce système est fragile car le sort du dollar est entre les mains du Japon, de la Chine et des pays du Golfe. La bonne tenue du dollar depuis l’accélération de la crise ne tient qu’à la puissance politique et militaire des Etats-Unis. Mais leur enlisement au Moyen-Orient montre que ceux-ci ont atteint ce que l’historien Paul Kennedy décrivait déjà en 1987 comme le point de "surextension impériale", celui au-delà duquel un empire ne peut plus soutenir sa domination et se trouve donc obligé de réviser à la baisse ses ambitions.
Certes, les Etats-Unis sont et resteront au XXIe siècle une très grande nation, mais ils devront composer avec "le reste du monde", avec les pays émergents (Chine, Inde, Brésil, Afrique du Sud, Iran), mais aussi avec le retour de la Russie et même avec leurs alliés traditionnels : Europe et Japon, qui, dans un monde multipolaire, voudront compter parmi les "pôles".
Et voilà pourquoi la crise sera longue, à la mesure des profonds déséquilibres économiques et géopolitiques qui se sont creusés depuis que Francis Fukuyama, en 1992, au lendemain de la chute de l’URSS, avait imprudemment proclamé la fin de l’Histoire et le triomphe définitif du libéralisme. Il faudra du temps en effet pour que les ménages américains se remettent à épargner et revoient leur mode de vie et pour que les Etats-Unis rétablissent leurs comptes extérieurs et délaissent le rêve d’un empire universel dont ils n’ont plus les moyens.
Bien sûr, ils peuvent être tentés de maintenir leurs avantages en recourant à la guerre, avec l’Iran par exemple ou bien avec la Russie dans le Caucase, par Européens interposés, de préférence, ou bien encore - pourquoi pas ? - avec la Chine dans le détroit de Formose ou en Corée. Tel n’est pas, heureusement, l’état d’esprit d’un Barack Obama, même si certains de ses objectifs de politique extérieure (Iran, Afghanistan, extension de l’OTAN à l’Ukraine et à la Géorgie) ne diffèrent pas fondamentalement de ceux de John McCain. Aucun des deux candidats ne semble avoir pris conscience de la situation économique réelle de l’Amérique.
Une récession économique assez longue se profile donc, faute d’une coordination des politiques économiques entre les principaux pôles de l’économie mondiale. Il faudrait en effet stimuler la demande dans les pays excédentaires (Allemagne, Japon, Chine) pour aider les Etats-Unis à rétablir leur équilibre commercial et à retrouver un taux d’épargne normal, autrement qu’à travers la récession. Nicolas Sarkozy a évoqué un nouveau Bretton Woods. L’expression est forte, mais nous sommes loin de pouvoir retrouver rapidement un système de parités ordonnées : il faut d’abord remédier aux déséquilibres fondamentaux de l’économie mondiale.
Pour que les grands pays européens puissent faire entendre leur voix dans la redistribution du pouvoir, à l’échelle mondiale, qui se profile, il serait temps de regarder les réalités en face. La crise a frappé de désuétude les principes qui ont gouverné la construction européenne : concurrence libre et non faussée sous la haute surveillance d’une Commission européenne omnipotente, prohibition des aides d’Etat, critères dépassés de plafonnement des déficits et de la dette publique, irresponsabilité de la Banque centrale européenne (BCE). On mesure ainsi à quel point le traité de Lisbonne correspondait peu aux nécessités d’une construction européenne réaliste.
En quelques jours, la réalité de l’Union européenne s’est révélée : c’est une union d’Etats et non pas une construction "communautaire" et encore moins fédérale. Ce sont les quatre plus grands Etats réunis d’urgence au sein d’un "G4" qui ont décidé, le 4 octobre, une simple coordination de mesures nationales, sous le régime de l’urgence, c’est-à-dire en dehors des règles posées par les traités, et cela sous l’impulsion d’Angela Merkel.
L’Eurogroupe à quinze, avec le concours de Gordon Brown, a assuré la mise en musique. Ainsi a éclaté la puissance du fait national : seuls les Etats en temps de crise ont en effet la légitimité démocratique pour imposer des plans d’urgence. La Commission européenne a été mise devant le fait accompli, et la BCE a été contrainte d’accepter dans l’urgence une baisse de ses taux d’intérêt que M. Trichet refusait encore quelques jours auparavant. Fallait-il que soufflât fort le vent venu d’Amérique !
Mais mieux vaut l’Europe des Etats que pas d’Europe du tout ! L’Allemagne ne veut pas d’un gouvernement économique de la zone euro. J’entends certains réclamer un "emprunt européen" que Jacques Delors évoquait déjà en 1994 au sommet d’Essen et que les traités actuels ne permettent toujours pas.
Ainsi les faits ont tranché : armés d’un solide euroréalisme, allons à la rencontre d’un avenir que chacun pressent difficile, en nous appuyant sur les nations, là où vit la démocratie, avec une idée simple : "Autant d’Europe que possible, mais autant de France que nécessaire !" Loin de toute inféodation, la France peut et doit faire entendre une voix claire, à la rencontre du monde nouveau qui vient.
Jean-Pierre Chevènement est sénateur du Territoire de Belfort, ancien ministre.
Article paru dans l’édition du 23.10.08
| |
|
|
|
|
|
|
|
Censure toujours
25/10/2008 12:54
Encore un commentaire de DLR 1 censuré sur la blog de la bien pensante MJS. Ici, DLR1 réagissait, avec sarcasmes, à un commentaire de Noël triste concernant la hausse de la fiscalité locale. Nous l'éditons une dernière fois et conseillons à DLR 1 de ne plus laisser de commentaires sur un blog qui baffoue quotidiennement un droit élémentaire de l'humanité : la liberté d'expression
à Noel triste Faite donc un changement dans votre actuelle situation, cessez d’être un smicard et devenait cas social : c’est une situation d’avenir à Hénin Beaumont… Vous serez choyé par la Mairie, vous n’aurez plus de fiscalité à régler et le coût qui revient à la collectivité sera pris en charge par les travailleurs et la petite classe moyenne… Bref ce serai pour vous le paradis… Pensez - y
| |
|
|
|
|
|
|
|
NDA sur I-Télé
24/10/2008 15:28
Dupont-Aignan : Dati doit intervenir pour réincarcérer le violeur présumé
24/10/2008 07h53 GMT - ENQUÊTE-VIOL-PRISON-PARTIS-DLR - Nouvelles de France - AFP
PARIS, 24 octobre 2008 (AFP) - Le député non-inscrit (ex-UMP) Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République, a estimé vendredi que la ministre de la Justice Rachida Dati devait "intervenir" afin que le violeur présumé remis en liberté par erreur retourne en prison.
"Ce qui est ahurissant, c’est l’absence de réaction. Pourquoi le parquet ne corrige pas l’erreur et ne le remet pas en prison", a déclaré M. Dupont-Aignan sur i-Télé.
Face à "un cas de force majeur", à "un danger public" la ministre de la Justice "doit bien évidemment intervenir", a-t-il estimé. "Il y a des moments où il y a l’intérêt général, où il y a l’intérêt public, où il y a l’exception" qui doit jouer, a insisté le député.
"J’aimerais que la ministre de la Justice s’occupe de son ministère", a-t-il poursuivi. "C’est ahurissant cette histoire et c’est tout à fait symbolique de l’état du ministère de la Justice".
Selon M. Dupont-Aignan "le problème ce n’est pas l’erreur du greffier, le problème c’est l’absence de réaction face à cette erreur. Et pire : on vous met sous contrôle judiciaire, c’est-à-dire on réagit en vous demandant d’aller pointer au commissariat, il faut arrêter cet angélisme, c’est extrêmement grave", a-t-il dit.
La cour d’appel de Paris a ordonné par erreur la remise en liberté d’un homme soupçonné de viols, d’enlèvement et de séquestration. L’homme a été placé sous contrôle judiciaire jeudi soir par le juge d’instruction de Créteil chargé du dossier.
swi/ds
Dupont-Aignan critique un manque de "cohérence" de l’exécutif
24/10/2008 08h46 GMT - FINANCE-ÉCONOMIE-GOUVERNEMENT-SARKOZY-PARTIS-DROITE - Nouvelles de France - AFP
PARIS, 24 octobre 2008 (AFP) - Le député non inscrit (ex-UMP) Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République, a critiqué vendredi un manque de "cohérence" de l’exécutif qui d’un côté "distribue des milliards" et de l’autre "nous dit qu’il n’y a plus d’argent".
"Je vois le président de la République distribuer des milliards, parfois avec raison", pour faire face à la crise, "mais de l’autre côté je vois un gouvernement qui nous dit il n’y a plus d’argent et qui nous présente un budget de récession", a déclaré M. Dupont-Aignan sur i-Télé.
"L’exemple le plus flagrant, a-t-il poursuivi, c’est le logement : d’un côté le président de la République, le gouvernement annoncent le rachat de 30.000 logements de programmes immobiliers de promoteurs et de l’autre on baisse le budget du ministère du logement. J’avoue ne plus comprendre".
"J’aimerais qu’on nous dise comment on va financer ces mesures, notamment les dernières, qu’on ne nous fasse pas voter un budget avec des prévisions de croissance de 1% alors que tout le monde sait que ce sera -0,5 ou 0", a aussi déclaré le député de l’Essonne en réclamant de "la cohérence".
Il a vivement critiqué les 10,5 milliards d’euros d’aide de l’Etat aux six principales banques privées françaises, selon lui "une petite oligarchie parisienne de dirigeants bancaires".
"On récompense par l’aide publique la gestion des grandes banques qui ont souscrit des obligations pourries, est-ce que c’est normal ?", s’est-il interrogé réclamant "un contrôle public" en contrepartie de l’aide apportée.
swi/db
| |
|
|
|
|